Les logiciels de sécurité (1) permettent en théorie de tout faire. Alors pourquoi les logiciels déployés ne délivrent-ils  qu’une petite partie de ce que veulent les chefs de site, agents et clients ?

Nous avons demandé aux acteurs du marché ce qu’ils voulaient : « Des logiciels aussi faciles à paramétrer, adopter et utiliser que nos Smartphone personnels ».

La complexité des outils utilisés par les agents, chefs de site, clients … fait qu’ils ne font pas ce qu’ils voudraient. Dans la pratique leurs outils ne leurs permettent pas ou difficilement de faire les choses essentielles.

A vouloir tout offrir dans l’absolu, les éditeurs de logiciels ont oublié de rendre ce qui est important vraiment accessible. Dès que de nombreuses fonctionnalités sont mises au même plan, rien ne peut plus être fait facilement vite ou bien. Résultat : on doit renoncer à beaucoup de choses qu’on voudrait et qui sont importantes.

(1) Main Courante Electronique + ses compléments de suivi du gardiennage humain

Aller à l’essentiel est exigeant : quand on propose l’essentiel, il faut être sûr de son coup !

L’essentiel pour l’agent ? Pouvoir saisir tout de suite sans avoir besoin de se concentrer trop fort ou de passer par des menus intermédiaires inutiles ou  « scroller » des menus. Etre reconnu pour le travail bien fait et recevoir des messages de félicitations saluant la qualité de son travail.

Pour le chef de site ? Déployer vite sa nouvelle solution de sécurité et constater que les agents l’ont adoptée sans peine et qu’ils l’utilisent vraiment. Donner des consignes facilement à un ou à tous ses agents. Voir  les tâches programmées réalisées, le nombre d’agents prévus à l’heure, le nombre d’heures travaillées par agent, de rondes prévues réalisées. Savoir qui travaille bien et qui se repose sur les autres. Générer et communiquer un reporting complet, fiable et à jour en 5 minutes.

Pour le directeur de la sécurité ? Visualiser les incidents classés par niveau de criticité. Visualiser les risques, leur gravité et être capable de prévoir où les prochains incidents ont le plus de probabilité de se produire. Challenger les informations qui remontent du terrain en s’appuyant sur des données objectives. Piloter la conformité de la performance opérationnelle aux SLA du contrat signé.